Samedi 7 juillet 2007 à 22:06

Je Doute Que L'on Puisse Rester En Contact Mais Tout Est Possible Alors Rappel Moi Ton Nom…
Est-Ce Que Cela Te Ferait Plaisir Si Je Le Drode Demain Sur Mon Paillasson ?


écoute Donki, Oublie Fuzati Et Appelle Moi Fuzat !
J'ai Sacrifié Mon i Pour Lui Donner Car Il Me Faisait Pitié, Saura-Tu Retrouvé Où Je L'ai Placé ?
DONKISHIOTTES !


- L'école Des Fans -


Preservatifs Et Cocaïne Font Bon Ménage Dans L'estomac.

- L'armée Des 12 - Ascenceur -



( Merci Cow' d'avoir doublé mon espace de stockage ! )




Vendredi 6 juillet 2007 à 8:27

Je Sais Encore Du Vian Mais C'est Plus Fort Que Moi !!!

" Je voudrais être amoureux. Tu voudrais être amoureux. Il voudrait idem ( être amoureux ). Nous, Vous, voudrions, voudriez être, ils voudraient également tomber amoureux. "

[ ... ]

" Il me faudra des mois, des mois, pour que je me rassasie des baisers à vous donner. Il faudra des ans de mois pour épuiser les baisers que je veux poser sur vous, sur vos mains, sur vos cheveux, sur vos yeux, sur votre cou ...
Chloé, je voudrais sentir vos seins nus sur ma poitrine, mes deux mains croisées sur vous, vos bras autour de mon cou, votre tête parfumée dans le creux de mon épaule, et votre peau palpitante, et l'odeur qui vient de vous. "





Dimanche 1er juillet 2007 à 14:17

* Le travail est l'opium du peuple... Je ne veux pas mourir drogué ! *

* Le travail c'est la santé ! Rien faire, c'est la conserver. *

* Le propre du militaire, c'est le sale du civil. *

* Sexuellement, c'est-à-dire avec mon âme.*

* Ce qui compte, ce n'est pas le bonheur de tout le monde, c'est le bonheur de chacun.*

* Il y a deux façons d'enculer les mouches : avec ou sans leur consentement. *

* On ne connaît la loi que lorsque les gens l'enfreignent. *

* N'importe quoi, sauf la vérité. Il n'y a que ça qui ne se vend pas.*

* Supprimez le conditionnel et vous aurez détruit Dieu. *

* La douleur est une chose que l'on n'a le droit d'infliger qu'à soi-même. *

* L'argent ne fait pas le bonheur de ceux qui n'en ont pas. *

* Pour faire du commerce, il faut, de nos jours, être américain ; mais si on se contente d'être intelligent, on peut aussi bien être français. *

Monsieur Boris VIAN




Dimanche 1er juillet 2007 à 14:01



AMIS je veux éjaculer
Tout le vieux foutre accumulé
Dans la boutique de mes couilles
Je sens se roidir mon andouille
Il n'est plus temps de reculer
Mâle, femelle, âne ou citrouille
Ce soir je vais tout enculer

C'EST à l'glise que je veux
Sodomiser tous ces morveux
Enfilons nos noires soutanes
Pareils aux boules des platanes
Nos roustons noirs font les nerveux
Nous sommes nus sous nos roupanes
Passe une belle aux longs cheveux

DEGAINONS la trique violette
Qui hennit et rompt sa gourmette
Echappant à nos couturiers
Je lève mon noir tablier
La belle lèche ma quéquette
Attisant le feu meurtier
D'une langue rose et proprette

VOICI que le corbeau croasse
Voici que mon engin bavasse
Et que déjà brament les chantres
Tantôt je sors et tantôt j'entre
Et je répands l'âcre lavasse
Issue du doigt que j'ai au ventre
Au bénitier de sa conasse

MON sperme a craché sur sa tombe
Et là mon braquemard retombe
Mais la belle sait mille tours
Et me tend son cul de velours
Cul de houri cul de colombe
Qui s'offre rose et sans détours
Et je m'y rue comme une bombe

COMME une flèche dans la cible
Comme un protestant dans la bible
Ma queue palpite de bonheur
Et la belle rit de douleur
Cul d'une courbure indicible
Plus ferme qu'un cul de facteur
De foutre il faut que je te crible

SE dégageant d'un coup de hanches
Elle se retourne et se penche
Sur le bâtonnet rabougri
Et dégouté de mistigri
Elle a de grands yeux de pervenche
Et me suçotte mon grigri
MIRACLE ! AMIS, C'ETAIT DENTS BLANCHES !

L'APOTHEOSE alors éclate
Un beau cardinal écarlate
Encule les enfants de choeur
Qui chantent faux de tout leur coeur
Se branlant dans une tomate
Le curé décharge - vainqueur...

Un spectacle offert par COLGATE !

- Boris Vian - La Messe en Jean Mineur -



Dimanche 1er juillet 2007 à 13:44

Si j'ai du caractère
Un sacré tempérament
Qui ont valu à ma mère
Du souci et des tourments
C'est que j'ai dans les artères
Le tanin et les pigments
Qui font le sang de la terre
Comme la lave d'un volcan

[ ... ]

   C'est que je tiens de mon père
 La passion et l'engouement
 Qui font guincher les chaumières
 Et s'enlacer les amants

[ ... ]

 Car je porte en mon sang
   Toutes les plaies de l'Espagne

[ ... ]

 Si je suis entière
 Et que je vais de l'avant
 Sans écouter de mon père
 Les avertissements
 C'est que' comme ma mère
 J'ai reçu en naissant
 La lueur de l'éclair
 La force du vent

[ ... ]

 Moi qui suis sa fille
  Je porte la folie
 Des belles de Castille
 Ou bien d'Andalousie
 Je tiens de ma famille


 Car j'ai du tempérament
  Ce foutu caractère
 Qui font dire à mon père
 Que je suis son cheveu blanc


- Olivia Ruiz - La Fille Du Vent -


* C'est L'Espagne ça Vous Fait Les Pieds *

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